Renard médecin (érotique)

Vous êtes ici : Accueil » Renard médecin (érotique)

Les ingrédients de l’érotisme masculin franchouillard sont les suivants :

  • dépaysement et canicule
  • manipulation et réticence
  • hypocrisie et transgression
  • humiliation et souffrance
  • plaisir coupable
  • inversion des rôles
  • jargon et humour.

Bibliographie

L’érotisme est avant tout une façon de raconter.

En partant du plus soft :

  • Sexus animalus – Emmanuelle Pouydebat
  • L’amant – Marguerite Duras
  • Positions sur l’Amour – Philippe Paringaux
  • Le blé en herbe – Colette
  • Les girls du City-Boum-Boum – Vassilis Alexakis
  • Ada ou l’Ardeur – Vladimir Nabokov
  • Les messieurs – Claire Castillon
  • Solitude nue – Pauline Wuth
  • Contes libertins – Jean de La Fontaine
  • Lolita – Vladimir Nabokov
  • La Chapelle Sextine – Hervé Le Tellier
  • Dictionnaire des fantasmes et perversions – Brenda B. Love
  • Anthologie de la fessée – Alexandre Dupouy
  • Fantasmes – Esparbec
  • La Maison – Emma Becker
  • La Vie sexuelle de Catherine M. – Catherine Millet
  • Ma vie secrète
  • Justine ou les Malheurs de la vertu – Sade
  • La philosophie dans le boudoir – Sade
  • Trois filles de leur mère – Pierre Louÿs

Renard médecin

Alors qu’il vaquait à pas grand-chose, cherchant un peu de fraîcheur dans l’embrasure de la petite chapelle qui s’ouvrait sur le clos dont le débroussaillage lui avait échu, Renard avisa une cochette en peine au corps gent, qui reniflait en boitillant. Une prénommée Pauline, si ses renseignements étaient exacts. Elle devait être la dernière arrivée, puisqu’ils n’avaient pas eu l’heure d’avoir été présentés. Le jeune goupil, par le chagrin alléché, lui tint à peu près ce langage.

  • Renard, Factotum pour vous servir. Nous n’avons pas encore été présentés. Je suis en charge des mises en culture, de la décoration des tables et de l’entretient des puits. Pauline, je suppose ?

La jeune truie acquiesça mollement, fixant l’incongru de ses petits yeux chassieux autour desquels s’affairaient quelques mouches opiniâtres.

  • Relevez votre robe, ma sœur. Je vois que vous boitez.
  • Garnement… Vous voulez que je montre mes jambes, réagit la cochette avec une vigueur inattendue !
  • Non ma sœur, ce sont vos fesses qui m’intéressent. Je veux savoir si elles sont bien fouettées, glapit l’incontinent.
  • Mais elles le sont, je vous l’assure !
  • Je dois le vérifier.
  • Je les sens toutes meurtries, le contact de la bure m’est un tourment constant.
  • Otez donc ce tissu, peuchère, je veux voir ces marques saintes sur le livre ouvert de votre cul. Elles m’inspireront la dévotion mieux que tous les sermons de l’ours, notre prince de lumière.

Ours officiait en tant que guide spirituel de cette petite communauté de moniales, qu’avait rejoint depuis peu, Pauline, une jeune truie des années 350.

  • Mais c’est l’ours lui-même qui les a inscrites en cet endroit.
  • C’est sa façon de porter à la connaissance du monde, sa foi et la vôtre. Ces marques ne vous appartiennent pas. D’ailleurs, vous seriez bien en peine de les lire, là où elles sont placées. Elles appartiennent à notre seigneur qui endura bien davantage. Pour quelles raisons vous les a-t-on faites ?
  • Comme je refusais de lui prêter ma paire de rechange, ma coturne, une vieille chatte sournoise aux dents gâtées, a rapporté à l’ours que je portais sous la bure, des culottes de coton.
  • C’est interdit par le règlement ?
  • L’ours est entré dans une fureur impressionnante, il m’a traitée de galande, a menacé de me renvoyer au monde et à sa séquelle. Il m’a sommée d’ôter immédiatement ces dessous d’apparat. Je me suis prestement exécutée, il me les a arrachés des mains, les a portés à son museau et s’est approché de moi en hurlant : « Sentez ! Sentez ma fille comment ce tissu sent l’urine et la foutrine ! Ce n’est pas sain. » Je pleurais à grosses larmées tandis que l’enragé m’essuyait le visage avec ma culotte. Pour apaiser son courroux extrême, j’ai demandé comment je pouvais expier ce manquement aux règles de l’ordre. Il m’a répondu qu’il me ferait porter une culotte de souffrance, le temps que je me départisse de cette habitude détestable.
  • Et que sont devenus vos dessous ?
  • L’ours les a emportés pour les purifier.
  • Comme vous devez souffrir ma pauvre Pauline !
  • C’est atroce, chaque pas m’est un arrachement, la bure ravive ma faute au moindre de mes gestes, m’assoir m’est devenu un épuisement.
  • Comme je vous plains, Pauline. Votre déréliction m’affecte. Ne voulez-vous pas faire de moi votre confident, en cette heure de tourment ? Cela allégerait votre peine.
  • Vous êtes bien bon, Renard, pour un sacripant de votre âge, bien savant des choses du langage et très au fait des tourments de la gent mamelue.
  • Montrez-moi votre peine afin que je compatisse mieux.
  • Soit, mais fermez les yeux, que votre esprit ne soit pas troublé par le découvrement de mes chairs. Je vous dirai quand vous pourrez les ouvrir.

Renard eut la sagesse de garder pour lui son trait d’esprit.

  • Bien, ma sœur, ils sont fermés comme des bouches de pénitentes.

Le jeune goupil fut surpris par la rougeur extrême des jarrets. Il vérifia que ses pattes n’avaient pas cette nature et fut rassuré en apercevant ses pieds, noirs comme la tourbe. Les pieds de Pauline étaient fins et droits jusqu’aux talons. Les chairs s’évasaient vers les hanches avec grâce. Comparées à l’ampleur du fessier, la maigreur des pieds était telle, qu’il semblait que celui-ci eût aspiré toute la vigueur des branches qui le portaient. Les lourds pans de la robe reposaient sur les reins charpentés. Sous le tissu retroussé, filaient de longues zébrures violacées. Le postérieur de Pauline était tout entier une plaie lilas rubis qui contrastait violemment avec la blancheur translucide des attaches. Encadré des lourdes tentures sombres, le tableau avait un côté funèbre qui impressionna Renard plus qu’il n’eut fallu.

  • Comment l’ours s’y est-il pris pour faire tant de dégâts ?
  • Les marques sont-elles à ce point visibles, s’enquit la jeune moniale ?

Renard se voulu rassurant.

  • Ce n’est pas grand-chose mais tout de même, certaines semblent avoir été portées avec une férocité peu commune.
  • Ce n’est pas l’ours qui m’a fouettée, c’est Blaireau !
  • Ce grand débile de sonneur ! Comment a-t-il osé ?
  • Il a protesté pour la forme mais je puis vous assurer que ça n’était pas sa première expérience, si j’en juge par les grognements qu’il poussait et par l’application qu’il mettait à traiter toute la surface à sa disposition.
  • Comment ne vous êtes-vous pas enfuie ?
  • Invectivant tout de son mieux, de l’attirail des coquettes aux recettes pour plaire aux yeux, l’ours m’a demandé de me dévêtir et de le suivre. J’ai parcouru, entièrement nue, des couloirs et des escaliers qui n’en finissaient pas, jusqu’à une salle de belle dimension meublées de curieuse façon. Là, il m’a installée, la tête prise entre de lourdes lattes, de telle sorte que mon corps ne pouvait plus faire un mouvement sans que je me tordisse le cou ou me rompisse les pattes.
  • Je ne connais pas de tel endroit dans cet établissement. Je me flatte pourtant d’en savoir les moindres recoins. Je vous jure, Pauline, que je vous vengerai. Blaireau ne sait pas ce qui l’attend. Je rosserai cette bestiole !
  • N’en faites rien Renard, je vous en conjure. L’ours vous priverait de vos cours de latin. On m’a dit que vous bénéficiez ici d’un traitement de faveur. Je méritais cette punition. L’ours m’a félicité pour mon courage et m’a assuré que ma repentance serait prompte.
  • Et que faisait-il, pendant que Blaireau vous besognait honteusement ?
  • Je ne saurais vous dire, c’est à peine si je distinguais le bas du mur à quelques pas de là. Mes yeux contenaient trop de larmes et de châssis pour que je pusse en voir mais.

Au fil de la discussion, jeune en toute manière, la cochette tenait la pose. Le contact avec l’air frai de la chapelle, dans laquelle Renard avait fini de l’attirer, soulageait les morsures qui la tourmentaient depuis deux jours. Ces confidences le cul à l’air lui faisaient le plus grand bien. Parce qu’elle y trouvait de l’aise et pour mieux soutenir le poids du vêtement, elle se laissa aller à une posture plus relâchée, ses jarrets s’arquèrent sensiblement et son cul prit un volume qui impressionna Renard (plus qu’il n’eût fallu). Un rayon, qui tombait d’un ajour en forme de croix, jouait avec les fines soies qui couvraient l’évasure des cuisses. Tout en haut, dans cet espace trouble et mystérieux, semblait accroché un nid de boue fine d’où Renard s’attendait à voir s’échapper à tout moment, un vol d’hirondelle. La douce lumière qui, à deux pas, jaillissait du soupirail, jouait avec les marques de feu, soulignant par endroit d’un trait d’ombre discret, le trajet fulgurant qu’avait suivi le scion, là où les chairs étaient gonflées. Depuis quelques minutes, Renard se rapprochait sans y paraître. Sous son ventre, sa jeune verge lui faisait mal et ses couilles gonflées l’obligeaient à garder bien haut sa queue touffue. Sa truffe était maintenant tout près du cul de Pauline. Celle-ci pouvait sentir le souffle du jeune canidé, quand il parlait.

  • Dites-moi des choses, Renard, cela me fait du bien.

Pauline se cambrait davantage pour que ses meurtrissures bénéficiassent mieux de l’effet lénifiant de l’haleine de Renard, offrant à celui-ci un aperçu plus précis de son perchoir à hirondelles.

  • Dites-moi, Pauline, comment se fait-il que des poils décorent encore votre minet ? N’est-il pas d’usage, en cette communauté, que les moniales fassent disparaître toute pilosité odoriférante ?
  • Vous êtes bien instruit de nos usages, Renard. Comment ce peut-il, de la part d’un puant dont la quiddité irrite à cent pas la narine des gens de toutes guises ?
  • L’ours est sévère mais il n’est pas avare d’enseignements.
  • Sachez que la cérémonie doit avoir lieu le mois prochain. J’ai hâte de ne plus voir cette broussaille honteuse prospérer sur mon ventre.
  • En observant de plus près je m’aperçois que les traces sont plus profondes que je ne pensais. La chair est très abimée par endroit et je crains que la gangrène s’y mette si l’on n’y prend garde.
  • Connaissez-vous un remède à cela ? Quelque baume cicatrisant ?
  • Quelque baume, comme vous y allez ! Je ne suis pas issu d’une riche famille de Cochonaille, comme la vôtre. Je ne suis qu’un orphelin que la miséricorde abandonna aux portes de ce lieu saint et que l’ours recueillit jadis. La nature me fit don de quelques facilités pour l’apprentissage des textes et j’ai su me rendre utile à l’entretient du site, échappant ainsi aux tâches ingrates et usantes, mais de là à posséder une pharmacopée…
  • Mais alors, dois-je faire porter un message à mes parents ?
  • N’y songez pas ma chère, l’ours n’apprécie pas les contacts avec les familles. Vous ne reverrez votre mère que dans onze mois, comme le prévoit le règlement.
  • Je suis donc perdue, condamnée à pourrir par le cul ?
  • Non pas, rassurez-vous. Je connais un remède plus puissant que toutes les plantes des fossés.
  • Je suis sauvée ! Ah Renard, dites-moi, que je ne meure pas.
  • Un jour, m’étant blessé en réparant le mécanisme de la clepsydre, je fus comme vous fort dépourvu. Ne pouvant compter que sur moi, j’observai dans la nature comme les animaux se tirent d’affaire en pareille circonstance. Un loup s’étant abimé la patte dans un piège, parvint en quelques jours à soigner sa blessure.
  • Par quel prodige ?
  • Dans un premier temps, il avait entrepris de désinfecter la plaie en la léchant longuement. J’ai pu lire, sur certain parchemin que l’ours tient secret en sa bibliothèque, que dieu a mis dans notre salive un principe désinfectant qui sait venir à bout de la vermine, quelle qu’en soit la nature.
  • C’est merveilleux.
  • A peu de temps de là, je vis revenir le loup boitillant, la patte entièrement enduite de cette argile malodorante qu’on trouve au bord de l’étang.
  • Quelle horreur.
  • Il semble que l’odeur, inoffensive par ailleurs, repousse la gangrène et permette aux plaies de cicatriser.
  • Mais alors, que fîtes-vous ?
  • Je suivis scrupuleusement l’enseignement de la nature qui égare nos âmes mais prend soin de nos corps, avant de les rappeler à son usage.
  • Dites donc.
  • Je léchai copieusement ma blessure puis l’enduisis de cette boue que j’ai dite.
  • Et alors ?
  • Alors en deux jours… non trois, j’étais guéri.
  • Mon dieu, Renard, comment vais-je procéder ? Ma complexion ne m’autorise pas à me lécher le cul !
  • Il est vrai que, de ce point de vue, vous êtes moins avantagée que d’autres animaux dont la souplesse est sans égale.

Tout devisant, Renard n’en poursuivait pas moins son examen. Une ligne de feu traçait son chemin à travers la chair jusqu’à l’anus. Par quelle science ou quel hasard, Blaireau avait-il guidé jusque-là son outil ? L’anus de Pauline s’épanouissait tel un coquelicot carminé cerclé de khôl, fleur sauvage et fascinante que Renard auscultait, fort de tous ses phantasmes de jeune prodige. La voix de Pauline le fit sursauter !

  • Mais vous, Renard, vous pouvez peut-être m’aider.
  • Certes, je ne refuserai pas mon aide à celle que le hasard de la vie abandonna à plusieurs mille de son foyer.
  • Vous pourriez enduire de salive ces plaies que vous connaissez mieux que moi…
  • Excusez-moi Pauline, mais j’aurais trop peur de les infecter davantage en portant sur elles mes abominables griffes… Les travaux de mécanique les ont rendues impropres à tout geste thérapeutique. Pour la boue, vous pourrez à loisir tremper votre cul dans la soue, près de la marre, mais pour la salive je ne sais que préconiser.
  • Ne pourriez-vous pas faire comme ce loup dont tout à l’heure vous me vantâtes l’habileté naturelle ?
  • Certes Pauline, je ferais n’importe quoi pour adoucir ce malheur que vous avez eu la bonté de partager avec moi.
  • Oh Renard, c’est moi qui vous le demande : léchez mes blessures autant qu’il est nécessaire, votre salive vaut bien la mienne. Puis, vous me conduirez à la marre pour compléter le soin. Je gage que cette entreprise me permettra d’échapper à mon triste sort et qu’elle vous instruira davantage dans les sciences médicales. Allez, courage mon petit savant !

C’est ainsi que Renard entreprit de lécher le cul violet de Pauline. La tâche était d’ampleur mais le goût de l’étude était là. Bientôt la petite chapelle se mit à résonner de mille grognements. L’affaire était, il est vrai, fort douloureuse, mais l’enjeu en valait la chandelle. Avant que douleur ne s’éteigne, le plaisir avait doucement envahi le porcin minois de Pauline dont le groin humide, d’aise se tordait, et la gencive, de rose s’empourprait.

Un craquement soudain avertit Renard qu’ils n’étaient plus seuls dans la douce pénombre. Il avait une idée précise de qui pouvait les observer. L’occasion était belle de rendre jalouse cette effrontée de Belette qui se montrait toujours plus futée que lui et trouvait un malin plaisir à l’humilier en tenant des raisonnements. Il allait l’instruire la finette ! Et lui montrer, à son tour, l’ampleur de ses talents.


Les amateurs de littérature érotique peuvent aussi lire Journal d’une jeune fille en désordre.


A mettre à jour dans functions.php à chaque nouvelle version de WP

function ma_recherche_filter( $query )
{
    //Les id des pages de test à exclure :
    $pagesAExclureTests = array(13584);
    //Les id des pages adulte à exclure :
    $pagesAExclureAdultes = array(12575, 12563, 10874);
    //Les id des pages filles à exclure qui parlent de WP :
    $pagesAExclureWordPress = array(13650, 13743, 13759, 13779, 13797, 13825, 13878, 14009, 14270, 14470, 14489, 14739, 14907, 14926, 15014, 15054, 15184, 15295, 15427, 15436, 16804);
    //N.B. : pour éviter d'avoir à noter tous ces id, prévoir une fonction qui récupère ces id à tous les niveaux de profondeur, à partir du slug de la page parent.

    //Tableau complet des id de toutes les pages HTML à exclure :
    $pagesAExclure = array_merge($pagesAExclureTests, $pagesAExclureAdultes, $pagesAExclureWordPress);

    $libelleracine = "racine";

    //Si je ne suis pas dans WP-admin :
    if(!is_admin() && $query->is_main_query()){
        //Si la requête concerne une recherche :
        if ( $query->is_search ){ 
            //Si le formulaire contient un champ "racine" et qu'il n'est pas vide :
            if (isset($_GET[$libelleracine]) and $_GET[$libelleracine] != "" ) {
                //Je récupère l'objet associé à la page racine :
                $mypost = get_page_by_path($_GET[$libelleracine], '', 'page');
                //Je récupère les pages fille de cette page racine :
                $mypages = get_pages(array('child_of' => $mypost->ID, 'sort_column' => 'post_date', 'sort_order' => 'desc'));
                //Je mets dans un tableau l'id de chacune des pages filles :
                foreach($mypages as $myPage) $pagesAInclure[] = $myPage->ID;
                //Je paramètre la requête pour qu'elle se limite à rechercher parmi les pages (filles) dont je fourni le tableau des id :
                $query->set('post__in', $pagesAInclure);
            }
  
            //Si le formulaire ne contient pas de champ "racine" ou que celui-ci est vide :
            else {
                //Je paramètre la requête pour qu'elle exclue certaines pages dont je fourni le tableau des id :
                $query->set('post__not_in', $pagesAExclure);
            }
        }
    }
    //A toute fin utile, la fonction retourne la requête reparamétrée :
    return $query;
} //fin de ma fonction
//Je demande que ma fonction (ma_recherche_filter) soit utilisée (add) avant (pre) de récupérer (get) les page HTML (posts) pour filtrer (filter) le résultat de la Recherche (add_filter('pre_get_posts',) : 
add_filter('pre_get_posts','ma_recherche_filter');

Get 30% off your first purchase

X