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La vérité sur la vérité : le canular
L’idée est de commencer à (se) raconter une histoire, faire travailler son imagination. Le plus simple est de partir de l’étonnante réalité. L’auditoire va devoir démêler le vrai du faux. Il appréciera l’information fausse pour sa qualité originale, absurde, amusante, poétique, scandaleuse, ou tout simplement plausible. Quant aux informations véridiques, une fois qu’il les aura contrôlées, il faudra bien qu’il les admette.
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La moquerie est-elle nécessaire ?
Tout peut être sujet à moquerie. En premier lieu, soi-même. Wiktionnaire nous dit « Origine obscure. Apparenté au vénitien mocar (moquer, dire des paroles inutiles) ». Ça m’arrange. Comme ne disait pas Nietzche, l’inutile n’est pas utile, il est indispensable ! Les intentions du moqueur sont variées et ses mobiles obscurs. Exprimer une angoisse, faire diversion, se mettre en valeur, dénoncer, faire souffrir…
rire et écrire