Quiz surnoms

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

La future reine avait du mal à prononcer son nom étant enfant. Elle nourrissait peut-être une certaine appréhension face au destin qui l’attendait.

Réduit au minimum, Liz signifie dieu, en hébreu. Le surnom Liz remplace le premier prénom, Marie. In Liz we trust. Liz veut-elle occulter ses origines ? Ses parents sont de gauche. Son père, professeur de mathématique à l’université, est même très à gauche. Seul sa mère, centriste, la soutient.

En 1996, Liz obtient son master de science molle, quitte la direction du groupe centriste des étudiants libéraux-démocrates, passe au parti conservateur et entre chez Shell. En 2000, elle se marie avec un collègue expert-comptable, devant son oncle prêtre (elle n’est pas pratiquante).

Même si, en 2012, elle cosigne le livre Britannia Unchained où l’on affirme que les Britanniques sont parmi les pires fainéants du monde (ce qui est sans doute vrai), Liz est une personne normale : elle est persuadée que les hommes (même les fainéants) ont contribué au changement climatique (elle est favorable au nucléaire et trouve les panneaux solaires inesthétiques).

Attention, elle change facilement d’avis (ce qui est sans doute une qualité) et est facilement désolée. Au référendum de 2016 Liz est en faveur du maintien du Royaume-Uni dans l’UE. Mais en 2017, elle annonce que s’il y avait un autre referendum, alors elle voterait pour le Brexit. En 2022, elle confirme qu’elle avait tort en 2016.

En août 2022, un mois avant son investiture, elle déclare que son parcours chez les centristes était une erreur de jeunesse : « Nous faisons tous des erreurs, nous avons tous eu des mésaventures d’adolescents. Pour certaines personnes cela concerne le sexe, la drogue et le rock’n’roll, moi j’étais chez les libéraux-démocrates. Je suis désolée. » N.B. : cette déclaration n’apparaît pas dans l’article anglosaxon de Wikipédia.

La drogue ne semble pourtant pas concerner que les autres. En 2015, elle était l’un des deux ministres du cabinet à voter librement contre la proposition du gouvernement d’introduire un emballage neutre pour les cigarettes : la promotion du tabac (une drogue douce qui tue la moitié de ceux qui en consomment) ne semble pas lui poser de problème. Par ailleurs, pendant ses études, du temps où elle dirigeait le groupe centriste des étudiants libéraux-démocrates, elle manifestait pour la libéralisation du cannabis (savait-elle seulement de quoi il s’agissait ?).

Dieu soit loué, le sexe non plus ne semble pas concerner que les autres : quatre ans après son mariage elle avait une relation extraconjugale avec son mentor politique (les deux hommes ont, je trouve, des visages qui se ressemblent).

Quant au rock’n’roll, la compilation Rock ‘n’ Roll Music des Beatles, qui regroupe leurs chansons les plus représentatives de l’esprit Rock ‘n’ roll, sort un an après la naissance de Liz. Ce n’est pas comme si cette erreur de jeunesse ne faisait pas partie de la culture de millions de personnes.

Liz est-elle superstitieuse ? Les fantômes écossais de son enfance murmurent-ils à son oreille ? Entend-elle des voix (l’un de ses arrière-grands-pères était ventriloque) ? Le 6 septembre 2022, le lendemain de son élection comme chef du Parti conservateur, deux jours avant la mort de la reine Élisabeth II, elle est nommée Première ministre. Est-elle toujours pour l’abolition de la monarchie ? Encore une erreur de jeunesse.

Francisco était petit et avait la voix aiguë. Cela a-t-il à voir avec le fait que le lacet étrangleur, aussi appelé garrot, ou garrotte, fut utilisé jusqu’en 1974 dans l’Espagne franquiste pour exécuter par strangulation les condamnés à mort ?

Jack est un diminutif de John très répandu ! Dans le même ordre d’absurdité, Nabû était le diminutif de Nabuchodonosor (« Nabû, protège mon fils aîné ») dans le sens où si vous appeliez Nabû, le roi de l’Empire néo-babylonien, alors on vous diminuait d’une tête.

Lionel changeait-il si facilement d’avis ?

Un surnom affectueux donné par sa collègue, Cécile Duflot.

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

Surnom donné par ses petits-enfants suite à son passage chez Disney.

L’unique enfant de Claude. Forcément sa préférée.

Du surnom affectueux à la marque déposée… Il est à Paris avec sa famille (son fils Bumby parle français). Archibald MacLeish se demandait « qu’arrivera-t-il à ce garçon à l’air souple comme une panthère ensommeillée quand la gloire lui tombera dessus ? ». Selon Philippe Labro, Hemingway fit d’Hemingway un personnage, n’hésitant pas à parler de lui à la troisième personne : « Papa dit que… », etc. Hemingway commença un jour à se prendre pour « Hemingway ». A partir de Pour qui sonne le glas (1940), l’homme est dépassé par son propre mythe. Il devient un homme public à succès chargé de kilos, souffrant d’épuisement créatif. Selon Scott Donaldson, « le rôle de Papa était à présent un véritable fardeau« .  « Dans l’esprit du public Hemingway était l’écrivain le plus célèbre au monde, un robuste macho barbu connu sous le nom de Papa, plus célèbre pour ses combats contre les gros animaux que pour ses livres ». Il appelait toutes les filles « ma fille« . Seule Ingrid Bergman refusait de l’appeler Papa. Même Mary Welsh, sa dernière épouse qui n’avait que huit ans de moins que lui, l’appelait Papa. Quelle bête traquée se cachait sous le sobriquet de Papa, qu’Hemingway finit par flinguer avec un fusil Boss à deux coups, en se suicidant à l’âge de 61 ans, le 2 juillet 1961 ?

On le dit orgueilleux et tyrannique. Les gens sont jaloux, c’est tout. J’ai beaucoup aimé son Dracula.

De 1838 à 1847, George Sand et Frédéric Chopin ont uni leurs destinées.

Bud signifie bourgeon. Les premières performances de Brando consistèrent à imiter les vaches et les chevaux de la ferme familiale pour distraire sa mère alcoolique, dans l’espoir qu’elle s’arrêtât de boire. Bud est aussi le nom d’une bière mais ça n’a aucun rapport.

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

Pendant son service militaire, Antoine passe ses brevets de pilote. Il doit son surnom de Pique la Lune à sa distraction, son nez en trompette et son caractère rêveur. Le Petit Prince serait le deuxième livre le plus traduit au monde après la Bible.

Jeu de mots avec Beyoncé et bee (abeille). Honey bee signifie abeille chérie. Honey signifiant miel à la base. On la surnomme aussi Queen B, voire B tout court (qui se prononce comme Bee). Son regard, sa peau, sa voix : tout est miel dans B.

Dès la fin du XIX^e siècle, il est surnommé le Divin Marquis, en référence au « divin Arétin », premier auteur érotique des temps modernes (XVI^e siècle). Marquis est son titre de naissance.

Selon vialma.com, Erik Satie était loin d’avoir une personnalité commune. Pour chaque période de sa vie, il a choisi un costume, depuis l’ensemble moutarde en velours qui lui a valu le surnom de « Velvet Gentleman », porté dans ses années Montmartre, jusqu’au chapeau melon et parapluie du fonctionnaire bourgeois laïc, adopté dans ses années socialistes. Proche des poètes et des surréalistes, il est connu pour ses facéties et sa vie de bohème (toujours vêtu d’un grand feutre et arborant une longue chevelure). Son œuvre soulève de nombreuses questions esthétiques. Sa musique est claire, dépouillée, elliptique, sans rhétorique, souvent simple techniquement et cependant inimitable.

La formule évoque la propriété détenue par Jean-Marie Le Pen sur la colline de Montretout à Saint-Cloud. C’est désormais Marine Le Pen qui y réside. Balzac n’aurait pas trouvé meilleur surnom.

Surnom signé Simone de Beauvoir. « Je pense que ma dernière lettre était un peu guindée, vous savez comme c’est : j’écrivais dans la cuisine, avec Algren dans la chambre et ces lettres ont toujours un goût de trahison, même si Algren parle de vous avec amitié et m’a fait cadeau pour vous d’une superbe pipe ; d’autant plus même. Ce matin c’est mieux parce que je suis seule, mais le rendez-vous poste restante avait quand même un petit goût d’adultère. Le fait est que je ne suis pas si gentille, si accommodante, de si bonne humeur dans la vie telle que celle que j’ai avec Algren parce qu’à l’arrière-plan il y a vous et ma vraie vie, et c’est là que commencent le mensonge et la trahison. Bon. Pour l’instant ça ne me tourmente pas. C’est seulement quand j’ai le choc d’une lettre de vous ou quand je vous écris que je le sens.« 

J’étais plus doux que sauvage
Et j’avoue que j’ai cru au mirage
Je deviens plus fou que sage
Et je m’ennuie des loups dans ma cage

L’argent le rendait fou. Le chocolat Lanvin aussi ! Dollars avides, anagramme trouvé par André Breton avec lequel Dali s’est fâché, après qu’ils se soient nourris l’un de l’autre. La philosophie excrémentielle du maître de la paranoïa critique se heurtait aux castrateurs de tout poil. Dali ne croit pas en l’intervention du PCF et en la révolution sociale comme réponse à la menace d’Hitler, Mussolini, Franco. Selon lui, la révolution ne peut se faire que sur le plan de l’imaginaire. « Je n’ai jamais vu un spécimen d’Espagnol plus parfait ; quel fanatique ! » dit Sigmund Freud à Stefan Zweig, après avoir rencontré Dali.

L’Avon est une rivière des Midlands en Angleterre. Stratford-upon-Avon est une ville du centre de l’Angleterre, lieu de naissance du dramaturge britannique William Shakespeare (1564-1616).

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

Voici un résumé de l’article de Wikipédia sur l’actrice et danseuse américaine d’origines espagnole, irlandaise et anglaise, Margarita Carmen Cansino (1918-1987).

La déesse de l’amour a été danseuse, a subi des relations incestueuses, est passée par la chirurgie esthétique pour devenir actrice et pinup, a vu le nom de son rôle mythique donné à une bombe atomique, a contracté cinq mariages et cinq divorces, a été princesse, a donné naissance à deux filles, est passée pour alcoolique avant de succomber à la maladie d’Alzheimer.

Margarita monte sur les planches dès l’âge de quatre ans dans un spectacle de son père, Eduardo, et de sa tante ; sa prestation consistait à jouer des castagnettes et danser du flamenco dans un numéro mis au point pour elle par son grand-père, Don Antonio Cansino, qui avait parcouru le monde avec succès, avec ses représentations de flamenco. « Travailler, travailler, c’est le seul mot que j’ai entendu pendant mon enfance. Mes parents m’ont appris à danser avant que je marche. »

Son père, Eduardo, fonde une école de danse à Los Angeles, en 1929 ; c’est un succès. Margarita y perfectionne son apprentissage et sera danseuse professionnelle dès l’âge de douze ans.

Suite à des placement foireux, le krach boursier de Wall Street ébranle l’entente familiale et Eduardo remonte ses anciens numéros de danse, avec sa fille de treize ans comme partenaire : leurs versions modernes du tango espagnol et du boléro ont un succès inouï. Margarita travaille beaucoup, jusqu’à vingt shows par semaine, dans des night-clubs, à Hollywood, Agua Caliente, Santa Monica, Long Beach… Rita est ravie de se retrouver avec son père qu’elle admire mais elle va vite déchanter : alcoolique, il devient tyrannique, violent et, comme elle le confiera plus tard à Orson Welles, son second mari, elle subira des relations incestueuses (en tournée sur des casinos flottants, son père la viole tous les soirs).

Malgré sa grâce et sa prestance naturelles, elle n’est jamais retenue en tant qu’actrice à cause de ses rondeurs et de son front trop étroit. La jeune fille de quinze ans « à la timidité qui fait peine à voir » finit par être remarquée par Winfield Sheehan, vice-président de la Fox Film Corporation. Elle signe un contrat sous réserve de changer son prénom en Rita, suivre un régime et prendre des leçons de diction et de maintien. Suite au rachat de la Fox par la 20th Century Pictures, elle est mise à la porte (ils le regretteront).

Sa carrière continue grâce à Edward C. Judson, obscur homme d’affaires arriviste qui lui trouve des contrats dans des petite sociétés qui produisent des série B. Pour échapper à l’enfer familial (ils sont tous devenus alcooliques), elle épouse un certain Judson de vingt ans son aîné qui va entreprendre de la métamorphoser : cours de diction, relooking, diète, chirurgie esthétique pour creuser l’ovale de son visage (en arrachant des molaires), séances d’électrolyse pour redessiner l’implantation de ses cheveux qui sont teints en auburn.

Poursuivant ses plans, il la présente à Harry Cohn, le patron de la Columbia Pictures qu’il connaît bien. Le producteur tombe sous le charme de la starlette et lui fait signer un contrat de sept ans, de 250 dollars par semaine. Il prend en charge les frais pour parachever sa transformation et lui fait prendre le nom de sa mère, Hayworth, afin de faire plus distingué (avec un y pour la distinguer de son oncle, Vinton Haworth, également acteur). Rita subit une cour empressée et des humiliations répétées, de la part de Cohn qui lui fait payer cher ses refus. Il épie toutes ses relations, allant jusqu’à installer des micros dans sa loge pour être au courant de ses faits et gestes, ce qui ne l’empêche pas de renouveler à chaque fois ses contrats.

Rita Hayworth se fait enfin remarquer dans le film de Howard Hawks Seuls les anges ont des ailes (1939) malgré la présence écrasante de ses deux célèbres partenaires, Cary Grant et Jean Arthur. Maintenant sûr de la valeur de Rita Hayworth mais ne sachant pas toujours comment l’employer, Harry Cohn loue son image de séductrice à d’autres compagnies plus célèbres. Avec La Blonde framboise produit par la Warner Bros. Pictures, elle devient Rita devient une star du jour au lendemain.

Hermes Pan, célèbre chorégraphe des films de Fred Astaire et Ginger Rogers entre autres, est un artisan de la gestuelle de Rita Hayworth pour Les Arènes sanglantes (1941) : « Les gens l’identifiaient à la fascinante déesse de l’amour, mais elle n’était qu’une petite fille de huit ans. C’était une stupéfiante transformation – ou plutôt un alliage stupéfiant. On ne pouvait pas croire que ces deux êtres étaient une même personne… » Avec ce film, elle devient une star internationale.

À la Columbia, l’actrice se remet à la danse pour des comédies musicales comme L’amour vient en dansant et Ô toi ma charmante. L’alchimie entre elle et Fred Astaire est manifeste. Elle divorce en 1942 d’un Edward Judson devenu menaçant, violent et d’une jalousie maladive. Elle accumule les conquête pour finalement se marier en 1943 avec l’acteur et réalisateur de génie, Orson Welles. Avec La Reine de Broadway, avec Gene Kelly pour partenaire et Charles Vidor comme réalisateur, sa renommée devient mondiale et elle se retrouve pin-up girl.

Avec Gilda (1946), film noir de Charles Vidor, son réalisateur fétiche, Rita Hayworth entre dans la légende cinématographique en incarnant la femme fatale et la fascination érotique. Dans une scène culte, le personnage de Gilda, vêtu d’un fourreau de satin noir, retire ses longs gants en chantant l’incendiaire chanson Put the blame on Mame : le dénudement progressif des mains qui suggère un striptease intégral en biaisant la censure du code Hays, reste un des sommets de l’érotisme au cinéma.

Les conséquences sont phénoménales. Une expédition enterre, au pied de la cordillère des Andes, une copie du film destinée à la postérité. On vend un disque sur lequel ont été gravés les battements de son cœur. Une des premières bombes atomiques larguée en 1946 sur l’atoll de Bikini est baptisée Gilda et porte son effigie (Rita fut profondément choquée par ce funeste hommage).

Alors qu’ils sont en instance de divorce malgré la naissance de leur fille, Orson Welles lui offre en guise de cadeau de rupture, son film La Dame de Shanghai. Avec ce film d’auteur qui est un désastre financier, Orson Welles règle ses comptes avec le système hollywoodien.

En 1949, au terme d’une liaison placée sous le feu des tabloïds, Rita Hayworth devient princesse en se mariant à Vallauris avec le prince Ali Khan. Une princesse Yasmin Aga Khan naît de cette union. Mais Rita, qui voulait fuir Hollywood, retrouve d’autres fastes encore plus contraignants. De plus, elle subit les tendances polygames de son mari, ce qui la blesse profondément. Le couple divorce en 1953.

Son quatrième mariage, avec Dick Haymes, ancien chanteur des orchestres de Benny Goodman et de Jimmy Dorsey, va s’avérer désastreux. Le personnage se révèle aussi trouble que son premier mari, Edward Judson, ce qui va jeter sa vie privée dans des imbroglios sans fin avec la presse. À la suite de violences conjugales, Rita demande le divorce en 1955.

Elle retourne à la Columbia en 1957 pour L’Enfer des tropiques avec Robert Mitchum. Elle remporte encore de grands succès dans d’excellents films comme La Blonde ou la rousse avec Frank Sinatra. Bien qu’elle y interprète le rôle d’une femme mûre, elle administre une belle leçon, par son jeu, son rayonnement et ses numéros dansés, à la nouvelle star de la Columbia Kim Novak, nouvelle pouliche choisie par Cohn pour remplacer Rita dans son « écurie ». Elle est heureuse de passer le flambeau et d’en avoir fini avec Harry Cohn.

En 1958, Rita épouse son cinquième mari, James Hill, un producteur rencontré lors du tournage de La Blonde ou la Rousse. Cocréateur d’une société de production, Hill propose le rôle d’Ann Shankland à Rita Hayworth pour le film Tables séparées tiré d’une pièce anglaise. Grand succès financier, le film reçoit sept nominations dont deux oscars pour les interprétations de David Niven et Wendy Hiller. Puis Rita tourne Ceux de Cordura qui marque la fin de son mythe de star. Rita divorce très rapidement de James Hill. En 1961, elle déclarait : « James Hill a été le plus calme et le plus solide de mes maris. Même avec lui, cependant, je n’ai jamais pu construire quelque chose. Il me considérait comme l’une de ses entreprises et son affection pour moi n’a jamais été un véritable amour… Toutes ces expériences négatives de vie commune m’ont écœurée. J’ai sans doute en moi les germes de cette incapacité à vivre normalement. Ou peut-être que tout simplement ma vie a été une longue erreur dont je suis la principale victime. »

Rita Hayworth disait : « Les hommes s’endorment avec Gilda et se réveillent avec moi. »

Le déclin de Rita Hayworth s’amorce et, au cours des années 1960, sa condition laisse penser qu’elle a sombré dans l’alcool alors que ce sont les premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer, mal connue à l’époque. La sachant à court d’argent, Robert Mitchum, son partenaire et ami de L’Enfer des tropiques, la fait engager dans ce qui sera son dernier film, La Colère de Dieu. En 1981, elle est placée sous la tutelle de sa fille Yasmina Khan, devenue princesse elle aussi et qui sera l’une des plus efficaces porte-parole de l’Association pour la défense des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ; elle organisera, au nom de sa mère, des galas pour récolter des fonds.

Le 14 mai 1987, Rita Hayworth s’éteint à New York.
Orson Welles a dit : « Peut-être vivrai-je si longtemps que je finirai par l’oublier. »

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

Alfonso Capone, né à Brooklyn et mort à Miami Beach, est un des plus célèbres gangsters américains du XX^e siècle. Surnommé Scarface (Balafré), il fait fortune dans le trafic d’alcool de contrebande durant la prohibition, dans les années 1920.
Personnage emblématique de l’essor du crime organisé dans les États-Unis de la prohibition, il contribue à donner à Chicago sa réputation de ville sans foi ni loi. Al Capone est devenu l’archétype du gangster.

Gilles de Montmorency-Laval, chevalier et seigneur plus connu sous le nom de Gilles de Rais (en référence à son titre de baron de Retz), fut amené à combattre les Anglais aux côtés de Jeanne d’Arc. Il est accusé par sa famille de dilapider son patrimoine en aliénant ses terres au plus offrant afin de pallier ses fastueuses dépenses. Ce qui entraînent sa mise sous interdit par le roi Charles VII en 1435. En 1440, il moleste le clerc Jean Le Ferron dans l’église de Saint-Étienne-de-Mer-Morte avant de se saisir du château local, violant de ce fait les immunités ecclésiastiques et portant atteinte à la majesté de son suzerain, le duc Jean V de Bretagne. Il est alors jugé et condamné à la pendaison et au bûcher par l’officialité de Nantes pour hérésie, sodomie et meurtres de « cent quarante enfants, ou plus ».

Ce n’est pas très sympa de ma part de le faire figurer dans cette liste. Ce personnage a toute ma sympathie. Aventurier à l’appétit sexuel démesuré et doté d’un grand pouvoir de séduction, ce mystique originaire des confins de la Sibérie est aussi un grand guérisseur et hypnotiseur. Grâce à ses guérisons et prédictions époustouflantes, il devient le confident d’Alexandra Feodorovna, épouse du tsar Nicolas II, ce qui lui permet d’avoir une forte influence au sein de la cour impériale russe.

Lors de l’affaire des Balkans, en 1909, Raspoutine se range dans le parti de la paix aux côtés de la tsarine et d’Anna Vyroubova, contre le reste du clan Romanov. Il pense que l’armée impériale, sortie affaiblie de la défaite de 1905 contre le Japon, n’est pas prête à se lancer dans un nouveau conflit. Il ne peut arrêter les événements, mais lorsque la France et le Royaume-Uni interviennent contre la Russie, il réussit à convaincre Nicolas II de ne pas étendre le conflit à toute l’Europe.

Son plus célèbre précepte est « Pour se rapprocher de Dieu, il faut beaucoup pécher. » Les dames de la cours sont impatientes de rejoindre son lit pour mettre en pratique sa doctrine. Il meurt assassiné en 1916, non sans avoir prédit à la tsarine : « Je mourrai dans des souffrances atroces. Après ma mort, mon corps n’aura point de repos. Puis tu perdras ta couronne. Toi et ton fils serez massacrés ainsi que toute la famille. Après, un déluge terrible passera sur la Russie. Et elle tombera entre les mains du Diable (Staline). »

Une servante aurait découvert son pénis tranché sur les lieux du meurtre. L’organe serait parvenu entre les mains d’un groupe de femmes russes expatriées à Paris. La fille de Raspoutine, Marie, l’aurait récupéré et conservé jusqu’à sa mort, en 1977. En 2004, Igor Knyazkine, le directeur du centre de recherches sur la prostate de l’Académie des Sciences Naturelles de Russie, annonce l’ouverture d’un musée russe de l’érotisme à Saint-Pétersbourg. Parmi les objets présentés se trouve, conservé dans du formol, le pénis momifié de Grigori Raspoutine, long de 29 centimètres.

Henry VIII est roi d’Angleterre et d’Irlande de 1509 à sa mort (1547). Henry VIII se marie à six reprises et fait exécuter deux de ses épouses, Anne Boleyn et Catherine Howard.

La controverse juridique et théologique relative à la validité de son premier mariage avec Catherine d’Aragon et à sa reconnaissance de nullité fut l’une des principales causes du schisme, en 1534, de l’Église d’Angleterre avec Rome et de la Réforme anglaise. Henri VIII supervise cette séparation avec notamment la dissolution des monastères et est pour cela excommunié ; il reste néanmoins un défenseur des fondamentaux de la théologie catholique. La doctrine et les rites anglicans mêlent des éléments catholiques et luthériens.

Jacques Mesrine (1936-1979) est un criminel français ayant opéré principalement en France, au Québec, en Espagne, en Suisse, en Italie et en Belgique. Déclaré ennemi public numéro un au début des années 1970, il est notamment connu pour ses vols à main armée, enlèvements, évasions et pour son fort charisme médiatique. Il meurt abattu par des forces de l’ordre lors d’une intervention menée à la porte de Clignancourt, après un an et demi de cavale.

À la tête d’un puissant réseau nobiliaire, il devient populaire pendant les guerres de Religion en se posant comme le défenseur de la foi catholique. Après avoir participé au massacre de la Saint-Barthélemy (1572), il s’illustre à plusieurs reprises sur le champ de bataille en combattant les protestants. Prince de Joinville, puis duc de Guise (1563), il tient, en tant que grand maître et pair de France, une place d’importance à la cour.

Chef de la Ligue catholique (1584), il aspire à gouverner la France. Il devint le maître de Paris après la journée des Barricades du 12 mai 1588, mais est assassiné sur ordre du roi de France, Henri III, lors des états généraux, au château de Blois. Henri III sera assassiné à son tour en guise de représailles.

Pablo Emilio Escobar Gaviria (1949 -1993) est un trafiquant de cocaïne colombien. À la tête du cartel de Medellín, il a été l’un des principaux barons de la drogue dans les années 1980. Son cartel, au sommet de son activité, fournit 80 % de la cocaïne consommée aux États-Unis, pour un chiffre d’affaires annuel de 21,9 milliards de dollars américains. Il est le criminel le plus riche de l’Histoire, avec au début des années 1990 une fortune nette connue de 30 milliards de dollars (59 milliards en $ 2020), ce qui fait de lui un des hommes les plus riches au monde, à cette époque.

Adjoint direct de Heinrich Himmler dès 1933, il joue un rôle déterminant dans l’organisation de l’appareil répressif nazi et lors de l’élimination de la Sturmabteilung (SA) en tant que force politique, lors de la nuit des Longs Couteaux (été 1934).

Il a un rôle majeur dans l’organisation de la Shoah par la planification et le contrôle, entre 1939 et 1942, de l’activité des Einsatzgruppen, dont la mission principale dans l’Est de l’Europe est l’extermination des Juifs par fusillade. En janvier 1942, il préside la conférence de Wannsee qui organise la logistique des centres d’extermination.

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

Che est un tic de langage comme « tu vois ».

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

A cause de sa barbe noire et blanche.

Il est mou mais il retrouve sa forme.

A cause de son teint foncé.

A cause de son teint foncé dû à une insuffisance hépatique.

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

Une tendance à l’autocratie ?

Marchie la cochonne ponctuait souvent ses phrases par « C’est un scandale ! », et grognait parfois en faisant « Grik-grik-grik ! ».

Elle était une transposition de Piggy la cochonne du Muppet Show (caricature de diva au caractère exubérant, narcissique et aux crises de colère légendaires).

Le Bébête Show est une émission de télévision française satirique de marionnettes, d’imitation et de parodie de l’actualité politique française, librement inspirée du Muppet Show de Jim Henson et créée par Jean Amadou, Stéphane Collaro et Jean Roucas. L’émission a été diffusée d’octobre 1982 à fin juin 1995 sur TF1.

Jacques Chirac était passionné d’anthropologie : “Au moment où s’impose la nécessité de repenser la notion de progrès pour réconcilier l’homme et son environnement, il faut remettre la culture, la diversité des cultures au cœur même du projet de l’humanité. Ma conviction est que chaque peuple a un message singulier à délivrer au monde. Chaque peuple peut enrichir l’humanité en apportant sa part de beauté, de création, de vérité.”

De la même façon, chaque femme a un message singulier à délivrer à l’homme qu’elle peut enrichir en apportant sa part de beauté, de création, de vérité.

Référence à Jean-Michel Apeupré, un chanteur qui connaît mal les paroles des chansons qu’il entonne. Ce personnage créé par Kad & Olivier était interprété par Kad Merad dans l’émission La grosse émission (2002/2003 sur Canal +). D’autres Jean-Michel représentaient des artistes nuls mais attachants (Jean-Michel Çava, Jean-Michel Avous, Jean-Michel Amoitié, Jean-Michel Dégueu…) et d’autres chanteurs inconnus (Jean-Michel Chantepa, Jean-Michel Voidechiote, Jean-Michel Torché, Jean-Michel Amoitié…)

Depuis, les réseaux sociaux ont repris le prénom générique de Jean-Michel, assorti de toutes sortes de patronymes sarcastiques.

Dans les textes latins, Jeanne est appelée « puella« , terme latin désignant à l’époque les « jeunes filles », autrement dit les adolescentes pubères âgées de 13 à 18 ans, sorties de l’enfance mais non encore adultes. De là vient son surnom, Jeanne « la Pucelle ».
En seulement une semaine, elle parvient à faire lever le siège des Anglais, le 8 mai 1429 : libératrice de la ville, elle gagne alors le surnom de « pucelle d’Orléans« . Le terme de « Pucelle d’Orléans » n’apparaît dans les textes qu’un siècle après sa mort.
Jeanne d’Arc a été canonisée en 1920.

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

Adolf utilisait lui-même ce surnom à une époque où il pouvait encore passer incognito.

Avant de faire de la politique, ce héros militaire indiscipliné et imprévisible sauva plusieurs fois la mise à Israël lors des différents conflits (guerre des Six-Jours, guerre du Kippour). Au début du XXI^e siècle, il est convaincu que seule la séparation entre Israël et les Palestiniens peut assurer la paix.

Accusé d’incitation à la violence ayant entrainé l’assaut du Capitole.

Surnom attribué par Jacques Chirac.

Son titre complet était « Empereur de Centrafrique par la volonté du peuple centrafricain, uni au sein du parti politique national ». Son accoutrement, sa cérémonie de couronnement extravagante et son régime étaient largement inspirés du règne de Napoléon I^er. Il mit en place une politique très répressive dans tout le pays.

Joe Biden ne rate jamais une occasion de rappeler combien sa vie personnelle est intimement liée à l’Amtrak, la compagnie ferroviaire américaine. Pendant 30 ans, tous les jours, il a pris le train des milliers de fois entre Wilmington, son fief du Delaware, et Washington où il était sénateur. Après la mort tragique de sa femme, Joe Biden avait promis à ses deux fils de rentrer chaque soir à la maison. C’est ce qui lui a valu le surnom populaire d’Amtrak Joe.

Les appétits sexuels de Goebbels lui valurent le surnom de « bélier ». Sous le Troisième Reich, la propagande fait de sa femme, Magda Goebbels, l’épouse et la mère de famille modèle de l’Allemagne nazie. Joseph a cependant des liaisons avec de nombreuses femmes. Le couple n’évite le divorce que grâce à l’insistance de Hitler, qui veut éviter que les frasques de Goebbels soient connues.

Atteint d’ostéomyélite dans sa petite enfance, Goebbels perd l’usage de son pied droit à l’âge de 4 ans. Après l’échec d’une opération, l’année de ses 10 ans, il est contraint de porter un appareil orthopédique le restant de ses jours. Il fait passer par la suite son infirmité pour une blessure de guerre.

Il obtient son doctorat à 24 ans. Il travaille comme journaliste et ne parvient pas à faire éditer un roman et deux pièces de théâtre.

Du fait de son action, de 1933 à 1945, au ministère de l’Éducation du peuple et de la Propagande, son nom reste lié à l’emploi des techniques modernes de manipulation des masses. Il est la référence en matière de propagande, pour les États totalitaires.

Avant de se suicider, Hitler le nomme chancelier ; mais Goebbels se donne la mort le lendemain, en compagnie de son épouse Magda, après qu’elle a empoisonné leurs six enfants.

La plus renommée des dirigeants politiques britanniques depuis Winston Churchill. Le surnom de Dame de fer que le journal L’Étoile rouge (organe de l’armée soviétique) lui décerne en 1976 dans le but de stigmatiser son anticommunisme, symbolise sa fermeté face aux grévistes de la faim de l’IRA provisoire en 1981 ou aux mineurs grévistes en 1984-1985, et se répandra dans le monde entier.

Première ministre du Royaume-Uni du 4 mai 1979 au 28 novembre 1990.
Fortement influencée par les idées issues du libéralisme économique, elle conduit d’importantes privatisations, réduit l’influence des syndicats, baisse les impôts directs, maîtrise l’inflation et le déficit public. Cette politique s’accompagne d’une hausse puis d’une baisse du chômage, d’une augmentation significative du produit intérieur brut, d’un accroissement des inégalités économiques et d’une augmentation des impôts indirects.

George Gipp, surnommé The Gipper, était un joueur de football américain étudiant qui mourut d’une pneumonie à 25 ans. Il est question de ce garçon dans un discours de motivation de Knute Rockne, le coach qui fait l’objet d’un film dans lequel le rôle de Gipp est tenu par Ronald Reagan. Le succès du film mit Gipp à l’honneur et Regan récupéra son surnom : plus tard, il utilisa comme slogan politique la phrase du coach « win one for the Gipper » (gagnez-en un pour le Gipper).

Pourquoi The Gipper ? C’est comme si Jacques Martin était surnommé Le Martineur ; ou Kylian Mbappé, le Mbappeur… Je n’ai pas la réponse. Gipp ne signifie a priori rien de particulier en anglais. Il s’agit d’une antonomase de circonstance où le nom propre est transfiguré en profession, mettant à l’honneur le caractère actif et volontaire de la personne.

Le roi des animaux politiques : engagé dans l’armée, 60 ans de députation, 30 ans à des postes ministériels, Premier ministre du Royaume-Uni de mai 1940 à juillet 1945 (il joue un rôle décisif dans la victoire des Alliés lors de la Seconde Guerre mondiale en refusant de capituler) puis d’octobre 1951 à avril 1955 (il démissionne à 81 ans et meurt à 90 ans).

Également écrivain et peintre reconnu. Francophile (il parle français avec beaucoup d’accent).

À l’approche de la fin du conflit, il plaide auprès du président américain, Franklin D. Roosevelt, pour qu’il reconnaisse la France libre de Charles de Gaulle, puis obtient à la France une place au Conseil de sécurité des Nations unies ainsi qu’une zone d’occupation en Allemagne.

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

Joli jeu de mots : gateskeeper signifie gardien (keeper) des portails (gates). Bill nous met en garde contre les pandémies, le réchauffement climatique, les pollutions de toutes natures… Et il prend soin de distribuer utilement et équitablement les millions gagnés par Microsoft.

elle.fr (28 janv. 2022) : « Depuis quelques jours, des rumeurs laissaient entendre que Brad Pitt n’était plus célibataire. D’après le « Sun », l’acteur aurait même retrouvé l’amour depuis l’été 2021, avec la chanteuse suédoise Lykke Li. »

Certains acteurs se cachent derrière les techniques enseignées par Stanislavski, Gérard se cache derrière l’odeur de ses pets. C’est sa façon à lui de mettre les gens à l’aise, sur un plateau. Françoise Sagan a dit de lui de jolies choses :  » Je n’aurais pas cru qu’un homme si jeune, si intelligent fût-il, puisse se dissimuler derrière son propre naturel. Ce naturel qui fait accepter ces excès et ces folies et ces quelques entorses à la légalité actuelle comme les éclats d’une vigueur irresponsable. Il ne choque pas. On l’aime. »

Le « tail gunner » est le mitrailleur (gunner) posté à la queue (tail) d’un avion de combat, dont la fonction est de protéger l’appareil des attaques en provenance de l’arrière. Tail Gunner Joe (ou La Chasse aux sorcières au Québec) est un téléfilm américain de Jud Taylor (NBC 1977). Pendant deux ans (1953-1954), la commission présidée par McCarthy traqua d’éventuels agents, militants ou sympathisants communistes aux États-Unis. Plusieurs millions d’Américains sont soumis à des enquêtes judiciaires et policières dans un climat nauséabond de délation et de règlement de comptes.

Raymond McCarthy était un spécialiste des fausses accusations destinées à créer la suspicion et la crainte. Ses soi-disant exploits militaires furent remis en question par la presse. On le voit ici poser dans un hangar à un poste de Tail-Gunner dont il n’aurait a priori jamais occupé la fonction.

Nombreux étaient ceux qui mettaient en doute les fabuleux récits de ce qu’avait vu en Asie le vénitien, à la cour du grand khan.

Messaline (Wiktionnaire) : femme particulièrement dévergondée, caractérisée par un appétit de luxe, une soif de plaisir et un esprit de lucre immodérés et ne reculant pas devant le meurtre pour parvenir à ses fins.

Marguerite était, paraît-il, une amante passionnée.

Bibliographie : L’amant.

Calamity (calamité) qui fait écho à la facilité de la jeune femme à troubler l’ordre public lorsqu’elle était éclaireur scout au service de l’armée américaine lors de la conquête de l’ouest. A cette époque, les femmes de basse condition étaient surnommées « Jane ».

Noter l’histoire extravagante de sa fausse fille, Jean McCormick, qui publia une fausse correspondance qu’elle avait elle-même rédigée.

Vous avez droit à une paire d’erreurs.

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Des médias et analystes soulignent que Lutte ouvrière fonctionne comme une organisation secrète, presque sectaire, sans direction, et impose l’utilisation de pseudonymes, Arlette Laguiller étant elle-même appelée « camarade Bizet », surnom qu’elle a choisi en hommage au compositeur Georges Bizet.

Champion du monde de F1 1994 et 1995, il rejoint en 1996 la Scuderia Ferrari qu’il contribue à relancer. Il obtient cinq titres mondiaux consécutifs et contribue à l’obtention de six titres constructeurs ; il gagne ainsi le surnom de Baron rouge (la couleur mythique des Ferrari).

L’ocre rouge de la terre battue, son terrain de prédilection.